Ça m revenu dans le train,lunette oakley. Il restait deux heures avant d dans cette ville du sud où un libraire et des lecteurs m pour une rencontre-signature. La dixième, peut-être, depuis la sortie,oakley, en mars,lunette oakley, de mon premier roman,lunette oakley. Le sommeil ne venait pas,oakley pas cher, le paysage refusait de me dire si nous étions encore en Ile de France ou déjà en Bourgogne,oakley pas cher. Des moments épars,lunette oakley pas cher, des visages me traversaient. Avec ou sans lunettes,lunette oakley pas cher, avec ou sans questions. Quelque chose émergeait de toutes ces rencontres. Quelque chose d encore. Une sensation.
Parmi ces silhouettes,lunette oakley pas cher, deux refusaient obstinément de se fondre,oakley pas cher. La première, fugitive, s à peine approchée de la table derrière laquelle,oakley pas cher, trois semaines plus tôt, j en train de me livrer à cet exercice périlleux : expliquer à un lecteur potentiel dans quel univers se déroulait l sans en dévoiler les ressorts. Presque sans que je m aperçoive, elle s emparée d exemplaire du roman avant de glisser l de rien vers la caisse,lunette oakley. Jamais je n la sensation de la voir bouger, mais dès que je parvenais à quitter une demi-seconde mon interlocuteur du regard,oakley pas cher, elle avait parcouru deux ou trois mètres,oakley. Comme si l jouait à 1,lunette oakley,2,lunette oakley,3, soleil. En 16 images seconde. Trente ans,oakley, mince,oakley pas cher, un peu androgyne, t-shirt à manches longues rayé. Aucun signe particulier. Si ce n son apparente détermination à s sans avoir fait dédicacer son exemplaire. C la première fois que cela m et je me sentais totalement démuni. Après tout, j là pour ça : demander le nom de la personne à qui l était destiné, broder deux ou trois phrases, dater, signer. Mais rien ne m préparé à un refus de dédicace. Que faire ? Quitter ma table, rattraper la fugitive alors qu s vers le soleil qui brûlait le trottoir dehors, tout là-bas, dans le monde réel, et lui demander si vraiment, sûr de sûr, elle ne désirait pas une petite signature ? Renoncer, la laisser partir avec son mystère, achever de raconter toujours sans rien déflorer, mon ouvrage au quadra attentif qui n rien perçu du drame invisible se jouant derrière lui ?
Quelques jours plus tard, à un autre bout de la France, je fus rétrospectivement soulagé d choisi la deuxième option. La lectrice avait dans les 45-50 ans. Très mince, jupe en jean, air sévère, lunettes. Après m écouté avec attention parler de mon livre, elle m qu va le prendre, tout en me transperçant du regard. Puis elle tourne le dos à la table, va pour payer. Décontenancé, voulant bêtement assurer ma mission jusqu bout, je lui demande si elle ne veut pas une signature Elle se retourne, abaisse son regard sur moi et m : qu que vous voulez que j fasse moi de votre dédicace ? Puis repart. Me laissant sans voix.
C vrai ça, qu que je voulais qu en fasse. ? Et qu que je faisais là, d à signer des livres ? Une simple phrase, un regard, et elle avait réussi à dissoudre momentanément le sens. Jusqu ce qu autre lecteur apparaisse, me ramenant au moment, à ma fonction ici et maintenant. Le cours des choses avait repris, malgré une infime déviation, invisible à l nu. Ou presque.
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