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raconte Chris Bosh. Mais nous sommes une bien meilleure équipe aujourd'hui

résentant en fanfare au public avant le début de la saison tout en claironnant que plusieurs trophées seraient au rendez-vous,beats by dre pas cher.Fin novembre, dix-sept matches et huit défaites plus tard, l'ambiance avait nettement changé du côté de South Beach. L'incapacité de LeBron James et Dwyane Wade à jouer ensemble et les errances de Chris Bosh étaient ainsi pointées du doigt par les médias, mais aussi par les fans. "C'est la période durant laquelle nous avons dû apprendre à nous connaître et apprendre ce qu'était notre philosophie de jeu, se souvient Erik Spoelstra,lacoste pas cher. Nous sommes passés par une autre phase en janvier durant laquelle nous avons eu du mal à cause de problèmes de blessures. Cela nous a forcés à utiliser de nouvelles rotations qui sont aujourd'hui d'une grande aide pendant ces playoffs." Puis les joueurs du Heat ont perdu cinq fois de suite, début mars, contre de bonnes équipes, se montrant "incapables de conclure dans le quatrième quart-temps", selon leur entraîneur. Entre ces différentes étapes, Miami a engrangé les victoires face aux mauvaises équipes et a terminé la saison avec 58 victoires pour 24 défaites, le deuxième meilleur bilan de la conférence Est et le troisième de toute la ligue, juste derrière les Chicago Bulls (62 victoires, 20 défaites) et les San Antonio Spurs (61 victoires, 21 défaites)."NOUS AVONS APPRIS DE NOS ERREURS""Pendant la saison régulière, nous n'avions pas encore trouvé notre collectif, nous n'étions pas encore l'équipe que nous pouvions devenir et on essayait de mettre tout ça en place, raconte Chris Bosh. Mais nous sommes une bien meilleure équipe aujourd'hui, nous jouons bien mieux ensemble, que ce soit en attaque ou en défense, car nous avons appris de nos erreurs." Cet apprentissage est allé de pair avec une bonne gestion des ego. L'ancienne star des Toronto Raptors, justement, a dû accepter un nouveau rôle, abandonnant son statut de "franchise-player" à Toronto pour celui de troisième marqueur de l'équipe à Miami. "Ça a été très dur. Il y a eu un moment où je ne savais plus qui j'étais et comment j'allais faire pour être productif", admet-il. Hors du terrain, la hiérarchie est également établie. Ce sont LeBron James et Dwyane Wade qui vont en conférence de presse après les matches et qui répondent côte à côte aux journalistes à la fin des entraînements. Chris Bosh, lui, reste, sauf exception, dans les vestiaires avec les autres joueurs de l'équipe.Et c'est bien cet esprit de sacrifice qui permet aujourd'hui à Miami de viser le titre,boutique lacoste. Cela commence en défense. Tous les joueurs ont compris que l'identité du Heat devait d'abord être défensive. LeBron James et Dwyane Wade ont beau être des scoreurs talentueux, c'est en arrêtant leurs adversaires qu'ils parviennent à lancer des contre-attaques. Puis de l'autre côté du terrain, les "Three Amigos" ont une nouvelle fois dû s'adapter, même s'ils inscrivent à eux trois près des trois-quarts des points de leur équipe. "L'important pour nous, ce n'est pas de
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